Rue de Strasbourg Le coteau des Venelles

      <p>Départ Sainte-Pezenne, place de la Résistance.</p>

<p>Les réunions secrètes du Maquis des Loups ont eu lieu à l&#39;école de Sainte-Pezenne et à la ferme des Loups à Sciecq.</p>

<p>L&#39;école de Sainte-Pezenne était sur cette place, d&#39;où le nom de place de la Résistance.</p>



<p>La passerelle de Ste-Pezenne : un trait d’union avec la ville de Niort,</p>

<p>Les soldats de la caserne Duguesclin venant danser et boire à la guinguette du bord de l’eau et compter fleurette sur le chemin des Amourettes. Cet ouvrage métallique fut édifié en 1880 pour</p>

<p>« faciliter les relations entre le quartier de Sainte-Pezenne et la ville de Niort ».</p>

<p>Grotte Marot, la grotte est appelée « Notre Dame de Lourdes » en hommage à la véritable grotte de Lourdes. Il y a quelques années, une petite statue de la vierge était posée dans la cavité située sur le haut de cette grotte.</p>



<p>Le Stade Espinassou</p>

<p>Léonce Espinassou était le fondateur du Stade niortais Rugby en 1906. Le stade a été mis en service en 1948</p>

<p>La tour du télégraphe Chappe.</p>

<p>Le télégraphe Chappe (ou télégraphe optique) est un moyen de communication (télégraphe) optique par sémaphore, sur des distances de plusieurs centaines de kilomètres, mis au point par Claude Chappe en 1794. Les sémaphores sont en général placés sur des tours dites tours Chappe,</p>

<p>Située 22 rue du Vivier sur le terrain du service hospitalier "Les Terrasses" cette tour crénelée supportait le sémaphore.</p>

<p>Ancienne caserne Dugesclin, Conseil Départemental des Deux-Sèvres.</p>

<p>Commencée en 1734 et achevée en 1752, la caserne a abrité jusqu&#39;en 1919 des régiments de cavalerie. Le dernier occupant en a alors été le 7ème Hussards.</p>

<p>Avant, les militaires logeaient chez l’habitant</p>

<p>Place de Strasbourg Monument commémoratif départemental</p>

<p>Aux enfants des Deux-Sèvres morts pour la défense du pays en 1870-1871</p>

<p>Les Venelles</p>

<p>Venelle Médiane, Venelle du Couchant, Venelle du Levant, Venelle de l&#39;Orient, l&#39;escalier.</p>

<p>Les venelles de Strasbourg ont été réhabilitées entre août 2009 et mai 2010.</p>

<p>Un trait d’union relie désormais les hauteurs nord de la ville au bas de l’avenue de Paris. Nouvelle étape dans la résurrection d’un quartier.</p>

<p>Dans la foulée, des propriétaires ont rénové leur bien. Un peu partout, des massifs bordés de pierres accueillent fleurs et arbustes.</p>

<p>Pour en arriver là, on a restauré un magnifique escalier en colimaçon.</p>

<p>Entre la venelle Médiane et celle du Levant, un jardin s’ouvre, bordé d’un muret entièrement rebâti. Avant, c’était une décharge. Aujourd’hui, un prunier, des bancs, une arche métallique accueillent les passants qui apprécient les ombrages au cœur de ce quartier aux allures de village.</p>

<p>Place Louis Michaud</p>

<p>Louis MICHAUD" dit Petit Louis". Membre important du réseau de résistance " Delbo-Phénix", avec Henri Lambert du Maquis des Loups de Sciecq.</p>

<p>Sa maison était le quartier Général du réseau de renseignement belge " Delbo-Phénix". Il sera arrêté et déporté à Mauthausen (kommando de Melk). Il est rentré après la libération.</p>

<p>Vue sur l&#39;église du Carmel</p>

<p>L’église du monastère fut inaugurée par Mgr Pie, évêque de Poitiers en novembre 1868.</p>

<p>Les plans du Carmel furent réalisés par M. Segretain, architecte Niortais</p>

<p>La Maison Rose de Bernard d&#39;Agesci</p>

<p>Bernard d’Agesci, de son vrai nom Augustin Bernard, né à Niort en 1757, mort en 1828 est un peintre français.</p>

<p>Dès sa jeunesse il quitte Niort pour Paris pour étudier le dessin et la peinture à l’Académie royale en 1779.</p>

<p>Il fut envoyé à la villa Médicis à Rome comme pensionnaire du Roi en 1783, À son retour en France, il réalise une série de portraits pour la noblesse ou l’aristocratie parisienne.</p>

<p>Les événements révolutionnaires contrariant sa carrière parisienne, il rentre à Niort, ville dans laquelle il a une action influente dans le domaine culturel et artistique.</p>

<p>Il est à l&#39;origine de la première bibliothèque publique de la ville. Créateur des musées de Niort, il dirige aussi à partir de 1802 l’école gratuite de dessin créée par la municipalité.</p>

<p>Il reste aussi de lui, à Niort, un modèle de maison à crépi rose où se mêlent les souvenirs antiques et l’influence palladienne. La Maison Rose.</p>

<p>La Maison Rose est inscrite à l&#39;inventaire des monuments de France.</p>

<p>Retour par le Mail Lucie Aubrac (résistante), l&#39;impasse du Pissot et le GR 36</p>